Classement des 7 personnages de Terminator interprétés par Arnold Schwarzenegger

Examinons toutes les incarnations d’Arnie du mythique machine meurtrière.

Depuis que The Terminator a fait irruption sur les écrans en 1984, cette machine assassin venue du futur, interprétée par Arnold Schwarzenegger, est devenue l’un des personnages les plus légendaires du cinéma. Le film a rencontré un grand succès, captivant les fans avec le personnage principal et sa quête incessante pour éliminer Sarah Connor. Son objectif est d’empêcher la naissance du leader des forces de résistance des décennies plus tard. Malgré son budget modeste, le réalisateur et co-scénariste James Cameron a réussi à créer un film d’action de science-fiction emblématique, alliant frissons et réflexion profonde sur l’humanité face à l’intelligence artificielle. The Terminator a été si populaire qu’il a engendré de nombreuses suites et une série télévisée, développant ainsi l’univers de la saga de manière intéressante.

Toutefois, tous les films de Terminator n’ont pas été réussis. Malgré la présence constante de Schwarzenegger dans cette franchise qui s’étend sur plusieurs décennies, toutes ses interprétations du Terminator n’ont pas été des réussites. Certaines étaient inquiétantes, d’autres réfléchies, et certaines étaient simplement étranges.

Bien que l’apparition de Candy soit brève, elle suffit à nuire à l’image de menace insatiable du T-800. Il est probable que cette scène ait été si mauvaise que les réalisateurs ont préféré l’éliminer au montage.

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Le T-800 de Schwarzenegger, surnommé « Pops », dans ce film est assez agaçant. Malgré son âge, il sait toujours se battre avec efficacité. Cependant, ses tentatives maladroites d’humour et de sensibilité ajoutent un élément de malaise qui nuit à son statut de « protecteur ». En raison de son rôle de père de substitution pour Sarah Connor, il ressemble davantage à un parent déphasé qu’à une machine meurtrière venue du futur.

Bien que Schwarzenegger n’ait techniquement pas joué ce version du T-800 dans Terminator Salvation, son visage a été recréé numériquement et monté sur le corps de Roland Kickinger. Bien qu’il n’apparaisse que dans le face-à-face final avec John Connor et Marcus Wright à la base Skynet à San Francisco, ce T-800 se rapproche de celui présenté dans le tout premier Terminator. Il ne parle pas, ne montre aucune émotion et est programmé uniquement pour tuer. La CGI utilisée pour ressusciter un Schwarzenegger plus jeune n’a pas très bien vieilli, mais sa présence menaçante est majoritairement présente.

Complexité du personnage

Dans Dark Fate, Schwarzenegger incarne un T-800 qui a tué John Connor en 1998. Cependant, après avoir pris conscience de sa liberté vis-à-vis de la programmation de Skynet, il commence à vivre sous l’identité de « Carl ». Bien qu’il conserve des manières robotiques, ce Terminator est l’une des versions les plus complexes. Il montre des signes de compassion envers les autres et regrette même son passé meurtrier, offrant une réflexion fascinante sur la dualité entre l’humanité et la machine.

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Néanmoins, l’idée de faire de Carl le propriétaire d’une entreprise de rideaux semble étrange. Pourquoi ne pas lui attribuer un rôle un peu plus adapté à un Terminator, comme expert en démolition ou Navy Seal ?

Schwarzenegger est revenu dans la franchise pour cette suite inutile en tant que T-101. Ce modèle est presque identique au T-800 sans qu’on en comprenne vraiment les raisons. Quoi qu’il en soit, ce Terminator agit de manière similaire, protégeant John Connor comme dans Terminator 2: Judgement Day. Si vous avez aimé cette version, vous apprécierez aussi celle-ci. Il réalise des scènes de combat impressionnantes avec le T-X, offrant une belle intensité physique, mais ses tentatives maladroites de sonner humain lui coûtent quelques points.

Dans ce film, le T-800 d’Arnold, irrésistible machine meurtrière, est lâché sur un monde sans méfiance. Il devient instantanément l’un des méchants les plus reconnaissables du cinéma. Armé d’un corps musclé, d’une connaissance approfondie des armes et d’une personnalité de grand requin blanc, ce T-800 a posé les bases de toutes les incarnations qui ont suivi. Même lorsque sa chair synthétique a été détruite et qu’il n’est plus qu’un endosquelette en métal, ce Terminator poursuivra sa proie, Sarah Connor, jusqu’à ce qu’elle soit, eh bien, éliminée.

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Bien que sa technologie ait évolué au fil des ans, aucun autre Terminator n’a surpassé la puissance et la férocité de ce modèle.

Un autre T-800 a été renvoyé dans le temps depuis le futur et il est tout aussi dangereux que celui du premier film. Cependant, cette machine a été reprogrammée par John Connor pour protéger son jeune moi d’un T-1000 plus avancé. Schwarzenegger joue ce personnage de manière similaire à sa précédente incarnation du T-800, mais le fait qu’il serve de gardien et de figure paternelle pour John représente une tournure narrative brillante. Les touches de compassion sont beaucoup plus subtiles que dans les itérations ultérieures du personnage, qui franchissaient souvent la ligne de la parodie.

Le Terminator de Schwarzenegger dans T2 n’est pas seulement la version la plus badass du personnage, c’est aussi la plus complexe. Il montre juste assez de cognizance et même d’humour, tout en préservant la robustesse de son intérieur mécanique et ses directives primaires.