Chris Evans de retour chez Marvel avec un rôle dans Avengers : Doomsday ?

Avatar photoRédigé par | | 1 minute de lecture | Films

Chris Evans, Dernières nouvelles, Marvel Studios, MCU

Chris Evans, connu pour son rôle emblématique de Steve Rogers/Captain America, devrait faire son retour dans l’univers cinématographique Marvel (MCU) avec le film « Avengers: Doomsday », dont la sortie est prévue pour le 1er mai 2026.

Cette information, rapportée par le média américain The Wrap, n’a pas encore été confirmée officiellement par Marvel Studios ou par l’acteur lui-même.

Le rôle précis qu’Evans interprétera reste à ce jour inconnu.

Cette nouvelle survient après la participation de Chris Evans dans « Deadpool & Wolverine », où il a repris son ancien rôle de Johnny Storm, alias la Torche Humaine, qu’il avait incarné dans les films « Les Quatre Fantastiques » des années 2000.

A lire également ! -  Ce film de M. Night Shyamalan est en tête des charts de streaming malgré son échec au box-office

D'autres infos sur le même sujet

<p data-lazy-src=

Krampus : La Famille Engel est-elle condamnée à l’éternité ? Décryptage de la fin du film

La conclusion du film "Krampus" laisse les spectateurs dans une angoisse palpable, suscitant de nombreuses questions sur le sort de la famille Engel. Alors que les tensions familiales atteignent leur paroxysme pendant la période des fêtes, l’arrivée de Krampus, la créature mythologique de Noël, vient bouleverser une célébration déjà trouble.

À la fin du film, nous assistons à un dénouement inquiétant : la famille, après avoir affronté des horreurs inimaginables, se trouve confrontée à un choix tragique. Les personnages principaux, en proie à la désespérance et à la peur, semblent condamnés à vivre un cycle de souffrance perpétuelle, piégés dans une boucle infernale provoquée par leur propres actions et leur manque d’esprit de famille.

Ce dénouement ambigu amène les fans à s’interroger : les Engel sont-ils vraiment piégés à jamais ? Ou s’agit-il d’une représentation symbolique des conséquences de leur désunion et de leur égoïsme ?

L’aspect le plus troublant est sans doute cette vision de la fête de Noël, tradition souvent synonyme de joie et de partage, détournée en une satire sur les relations humaines. Krampus agit ici comme un miroir où se reflètent les peurs et les dysfonctionnements familiaux, laissant une empreinte indélébile sur ceux qui osent regarder.

En somme, la fin ouverte de "Krampus" nous rappelle que les aspects les plus sombres du temps des fêtes peuvent se cacher derrière une apparence d’harmonie, et que certaines familles peuvent effectivement se retrouver emprisonnées dans leurs conflits, même au cœur de la célébration de Noël.