Voici trois croisements surprenants de comics Terminator que vous ne connaissez probablement pas
La franchise Terminator divertit les spectateurs depuis l’explosion du premier film dans les salles en 1984. La série mêle action percutante, effets spéciaux révolutionnaires et réflexions sur des concepts comme l’homme contre la machine et le destin contre le libre arbitre. Même si les deux premiers volets sont souvent considérés comme des classiques des genres sci-fi et action, les studios continuent de produire des suites, des préquels, des dérivés et des reboots – comme le T-800, la série semble éternelle. Demandez simplement au créateur de la franchise, James Cameron, qui a récemment fait allusion à un projet secret autour de Terminator. Avec la popularité durable de cette série inarrêtable, il ne fait aucun doute qu’elle continuera longtemps après que Cameron aura disparue.
Cependant, si la plupart des fans de Terminator connaissent bien les films, les séries télé et les jeux vidéo, ils ont peut-être ignoré plusieurs instances où l’infâme T-800 a fait une apparition dans d’autres franchises de comics non liées. Certaines de ces collaborations peuvent sembler évidentes, tandis que d’autres sont assez surprenantes, chacune apportant ses propres tonalités et thèmes. Alors que certaines ont mieux fonctionné que d’autres, toutes sont riches en imagination et en ingéniosité. Découvrons trois croisements de Terminator que vous avez complètement oubliés.
Superman vs. The Terminator: Death to the Future
En l’an 1999, Sarah Connor et son fils John sont en fuite face aux T-800 envoyés par Skynet pour assassiner le jeune garçon. Lors de leurs aventures, ils se retrouvent à Metropolis, où un T-800 en train d’attaquer est rapidement neutralisé par Superman, qui détruit la machine. Cependant, lorsque Skynet tente de récupérer le Terminator endommagé, ils aspirent accidentellement Superman dans un portail temporel menant à un futur dystopique, en 2032, où Superman s’allie à un John vieillissant et à Steel pour mener la résistance.
Écrit par Alan Grant, connu pour sa maîtrise des futurs post-apocalyptiques, ce mini-série réussit à développer les relations entre Superman et les personnages de Terminator. Toutefois, elle peine à équilibrer l’optimisme de Superman avec l’atmosphère sombre de la franchise Terminator.
RoboCop versus Terminator
Dans une lignée future où les Terminators de Skynet ont largement décimé l’humanité, une survivante du nom de Florence « Flo » Langer est déterminée à donner une dernière chance à son peuple. Elle découvre que la technologie cybernétique utilisée pour créer RoboCop à l’époque a mené à la création des machines de Skynet. Flo retourne donc dans le temps à Detroit pour détruire RoboCop et empêcher la technologie de mener à l’émergence des Terminators de Skynet, mais lorsque le RoboCop du passé comprend l’utilisation de sa technologie à venir, il prend position contre Skynet.
Cette mini-série de quatre numéros publiée par Dark Horse présente une équipe incroyable, comprenant le scénariste Frank Miller et l’artiste Walter Simonson. Bien que la série manque un peu de développement des personnages, Miller fusionne habilement les univers cinématographiques de Terminator et RoboCop, explorant un thème profond sur l’homme contre la machine.
Aliens vs. Predator vs. Terminator
Call et un clone humain/alien d’Ellen Ripley, tous deux issus du film Alien: Resurrection, découvrent que Skynet développe secrètement un moyen de combiner la biologie des xénomorphes avec la technologie de ses Terminators pour créer une armée imparable. Heureusement, les Prédateurs sont à l’affût de cette nouvelle espèce de xénomorphes cybernétiques et forment une sorte d’alliance avec Ripley et Call pour les éliminer.
Cette série présente un concept fascinant qui combine habilement ces trois franchises bien connues de science-fiction, d’horreur et d’action, tout en offrant de nombreuses confrontations passionnantes entre ses protagonistes principaux. Cependant, l’intrigue est chargée et compte trop de personnages, ce qui dilue l’impact global de l’histoire. Néanmoins, elle méritent d’être lues par les fans inconditionnels de ces films, car elle regorge de références au matériel cinématographique source.